Collection Vengeance. LAttaque La Suite (1/1)
Quand je suis allée vers la place Pigalle rechercher une queue noire, ce que je fais depuis la naissance de mon fils mais surtout lattaque qua subit John mon mari, noir américain, jai reconnu une voiture rouge à laile enfoncée.
John, lui je lai connu en me rendant à une exposition à New York dun peintre de Houston au Texas.
Il était grand, beau, la trentaine et même légèrement plus alors que moi la petite française j'étais encore vierge à 22 ans.
Jétais là-bas pour mes études sur lart, donc aller voir les expositions cétait tout à fait normal.
Perde mon pucelage dans sa chambre dhôtel suivi dune période où il est retourné dans son pays avant que je ne le retrouve dans lavion me ramenant en France mes études américaines terminées, ça nétait pas prévu.
On dit toujours quil faut que le garçon vous demandant en mariage le fasse en trouvant une façon originale.
John l'a fait en sagenouillant dans lallée de lavion avant de sasseoir à mes côtés, il avait réservé la place voisine de la mienne sans me le demander.
À Paris, ce sont mers parents quil a séduits bien quau début, pour maman, voir sa fille vivre à Paris avec un homme de couleur a été légèrement difficile à avaler.
John est déjà venu à Paris et après mavoir épousé, il ma installé dans son atelier dans le Marais quil possède depuis ce premier voyage.
Le soir de notre anniversaire de mariage, nous avons dîner dans un bouchon près de la Seine.
Cherchant à rejoindre notre nid douillet par des petites rues, dans un premier temps, jentendais une voiture nous suivre.
Me retournant jai eu le temps de voir trois gars au crâne rasé avec des marcels montrant leurs muscles, mais surtout une batte de base-ball que portait lun deux et qui lui a servi à massacrer mon mari le laissant pour mort.
Un coup dans le dos quand il a voulu me protéger le contraint à rester dans une chaise roulante mais lui permettant de créer ses toiles qui se vendent extrêmement bien.
John que jadmirais à New York dans sa période dite bleue, peint en ce moment des toiles que les critiques appelleront noir.
Ce nest pas que ce nest pas harmonieux, les études que jai faites me donne un grand pouvoir dharmonie dans mes jugement, mais ce noir quil étale sur des toiles gigantesques me donne le cafard.
Dans cette petite rue, John étant hors de combat, jai bien cru que ces trois garçons allaient me violer, il nen fut rien.
Cest ce que jai dit aux policiers qui sont intervenus à lappel dune riveraine ayant entendu mes appels au secours.
Certainement pris par le temps, ils se sont contentés de me couvrir de leur sperme en se masturbant sur moi.
À lhôpital ou nous avons été conduits, les médecins ont récupéré des particule de sperme même séché afin dans extraire lADN.
Les policiers ont reçu les résultats, quatre ADN, quatre profiles les interrogeant.
Dans mes déclarations je parlais de trois hommes qui nous avaient attaqués.
Ils mont convoqué et rouge de confusion jai été obligé de leur avouer quavant de quitter latelier de John, je lui avais fait une petite fellation me souvenant quun jet au moment ou il avait éjaculé était venue sur ma lèvre supérieure.
Javais seulement passé ma langue pour récupérer le maximum de la semence de mon mari.
Ils ont récupéré des cellules dans sa bouche, analyse faite, même sils se sont bien marrés me laissant rouge de confusion, sétait bien lui le quatrième.
Dans un premier temps avouer que je pompais John, était humiliant, ils navaient pas besoin de connaître nos pratiques sexuelles.
Le deuxième point que jai appris cest que les trois autres profilent nétaient pas répertoriés dans la base des délinquants.
La nature a ses exigence et ses surprises, je perdais lusage de la queue de mon homme mais je récupérais un joli bébé métissé.
La nature ne peut pas tout et John a dès le début rejeter notre fils comme sil lui reprochait dêtre devenu une moitié dhomme.
La nature a ses exigences et cest dans les jours qui ont suivi que je suis sortie pour la première fois à la recherche dune queue qui mapporte ce que lattaque contre John me privait.
Noirs, elles sont toutes noires jusquà ce soir ou près de Pigalle.
Arrêté à un feu rouge, je remarque une voiture rouge avec à son volant un crâne rasé ressemblant étrangement à la salope qui ma privé de lhomme que jai connu qui me comblait.
Jai un esprit vif, à ce jour la police na pas réussit à coffrer ces pourris et jai à porter de main lun de ces pourris.
Jouvre la portière et je massoie à ses côtés sur la banquette avant.
- Je ne suis pas un taxi mademoiselle.
- Je le sais, mais tu es lun des garçons que je ne remercierais jamais assez de mavoir débarrassé du mec à la queue noire avec qui jétais quand avec ta batte tu lais démantelé.
Roule cest vert.
- Je dois reconnaître que je me souviens de toi, avec le sperme en moins, mais pourquoi je tai rendu service.
- Roule, cest de nouveau vert.
As-tu entendu parler de la queue des noirs ?
John le mec que tu as massacré en avait une énorme cest pour ça que jétait avec lui.
Le lendemain je me suis fait une queue blanche comme la tienne.
Je me suis aperçu que lorsquun mec savait sen servir, blanche ou noir, cest du pareille au même.
Et toi comment tu ten sers.
Roule cest vert.
Le long du métro de Barbès ou nous nous trouvons, les feux rouge se succèdent.
Il se demande certainement ce que je lui veux à part le remercié de lavoir soi-disant libéré des queue de blacks.
Je lui mets la main sur le sexe, ça semble le rassurer et je sens que je le fais bander.
- Et tes copains, tu les vois encore ?
- Je vais les rejoindre, jétais venu dans la zone voire un copain.
- Vous habitez où ?
- Nous squattons une vieille maison à Créteil, nous vivons de lair du temps.
Cest ainsi que quelques minutes plus tard, il fait entrer sa voiture dans la cour dune bâtisse tombant en ruine.
- Voilà cest chez nous provisoirement, les s dune vieille qui habitait là se déchire pour lhéritage et ça nous permet de vivre sans trop de souci.
Salut les mecs, vous ne devinerez pas qui je vous amène.
- Une pute, Louis, tu nous amène une pute, ne me dit pas quavec largent récupéré près de notre fourgue tu te paye une salope.
- Alain, regarde bien et ferme ta grande gueule, mademoiselle tu las connu tu la même arrosé de ton sperme dans une petite rue du marais.
- La salope avec son noir, celui-là tu ne las pas loupé, il se traînait au sol en appelant sa maman.
- La salope sappelle Isabelle, jai quitté mon black comme tu dit et depuis je suis revenu dans le droit chemin des queues blanches.
Vous vous rendez compte, quand jai vu Louis à Pigalle, jai revu vos queues qui me faisaient fantasmés, je rêve de les avoir dans ma bouche lune près lautre.
- Je te disais bien que cétait une salope, viens la Isabelle, je serais le premier.
- Je me souviens, cest toi qui as dit que tu ne mettrais pas ta queue dans la bouche de celle qui se faisait un chocolat.
- Je disais ça car nous étions pressés, surtout quand je vois ton petit cul dans ton short moulant, lautre fois on aurait dit une none.
Il est vrai que je suis devenue une autre alors que dans cette rue, jétais habillé classique pour une jeune femme de bonne famille.
- Je vais vous mettre daccord, sortez-moi vos bites, je vais vous sucer en même temps.
Sucer, je le fais fréquemment depuis que John est incapable de me satisfaire.
Pour la première fois, jai à quelques centimètres de ma bouche les trois verges que dans la lumière des phares javais vu se masturber sur moi.
- Cest moi qui la baise le premier.
Qui a dit ça, ou va me conduire ces trois mecs qui me donne envie de vomir même si mon corps aime se faire prendre chacun leur tour, à deux et même les trois dans mes intimités.
Dans ma quette de sexe quand je laisse John sachant quil ne bougerait pas, jai pratiqué la sodomie.
Le black ramassé dans un bar en avait une plus grosse que celle qui mavait mis une bague au doigt.
Dans latelier nous faisons chambre à part, comme ce soir, mon alliance est posée sur ma table de nuit, je la retrouverais au matin quand je me coucherais dans lattente de linfirmière.
Depuis que je viens voir mes trois petites bites en général le samedi, jai appris à les connaître.
Ils mont avoué la semaine suivante quils sétaient planqués pendant trois jours pensant que jallais leur amener la police.
Dans ma tête, jai déjà mon plan, je vais me venger, mais lheure nest pas encore venue.
Louis mavait ramené à Paris 1er devant un passage dont je suis ressorti dans le 2ème pour prendre un Hubert que javais appelé.
Je voulais éviter que les garçons me suivent et découvrent que jétais toujours avec mon mari même sil était incapable de me satisfaire.
Le samedi, la voiture était là, ils ignoraient les deux entrées et pendant plusieurs semaines nous avons répété le manège.
Cons comme ils létaient de vrais taches, chaque fois je me faisais baiser et je prenais un peu plus de place.
Jai même appris quils vivaient de cambriolages et que lorsque javais vu Louis à son feu rouge il venait de chez leur fourgue qui avait récupéré les bijoux.
Quand jétais là, jétais leur femelle, mais aussi leur cuisinière, moi qui navais jamais cuisiné laissant cela à notre femme de service qui venait tous les jours à latelier.
Ça allait me servir me soir, manquant me faire prendre au dernier moment de mon action quand Boris lun des trois est venue derrière moi pour me prendre appuyer sur le plan de travail.
Comme les deux autres, il sest endormi avec la dose de somnifère que je leur avait mis dans leur boissons.
Cest sur les matelas ou ils dormaient que je les ai tirés.
Dans le garage, le bidon dessence était là ou je lai déposé hier alors quils étaient partis.
De la cave au grenier sans oublier leurs couches, je les ais arrosé avant de sortir en craquant une allumette.
Pourquoi cest ce soir que de la chambre dhôtel en fasse de la villa en feu, je les regarde passer de vie à trépas.
En plus de du bidon dessence je suis venue récupérer les codes et la carte de cette chambre en libre service.
Jolie feu de joie au point quen les regardant cramer, je me masturbe.
Les pompiers sont venus mais quand tout sest écroulé surtout le toit, je savais que javais vengé John.
Ça ma été confirmé quand jai quitté la chambre redevenue la bourgeoise dont javais parlé à mes trois amants.
Trois civière était mis dans des ambulances, je pouvais monter dans mon taxi direction Roissy.
- Papa, maman, merci de mavoir amené John et John junior.
On est bien daccord, dans quelques semaines quand papa sera à la retraite vous nous rejoignez à Houston dans le ranch que possède mon mari et ou il a son atelier principal.
Voilà, pourquoi cest ce soir que jai cramé ses salopard, John reprenant le dessus moralement a fini sa période noir, il attaque une période ou il veut peindre des animaux.
Or nous en avons dans notre ranch entretenu pas un couple dont je vais faire leur connaissance.
John junior, il commence à sy intéresser.
Je viens de minstallé dans cette maison ancestrale ou je sens que je vais couler des jours heureuses.
Sur Internet, jai pu lire des articles sur le feu de joie que jai allumé.
La police soriente vers un règlement de compte avec un fourgue quils auraient cambriolé la veille de mon incendie.
Il na pas dalibi.
Bien, je vous quitte, John est couché, John junior chez les gardiens du ranch pour la nuit.
Jai mon permis et une grosse voiture américaine, je roule vers le centre de Houston, ne suis-je pas au Sud des états Unis dans une ville ou les blacks sont légion.
Je sens la nécessité de revenir à mes amours du début de ma vie de femme.
Corrigé par Anne, merci.
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